Alors, j'ai du recommencer le début de mon histoire à cause d'une triste erreur et je suis énervé alors t'as intérêt à être gentil capiche ?
[[Oui]]
[[Non]]Bon c'est bien... T'es Sympa...
Alors, comme tu as pu le voir c'est un jeu ou tu vas devoir faire des choix et comme on le sait tous, parfois c'est pas facile de faire des choix. Pourquoi ?
[[Parce que la vie est une pute]]
[[Parce que la vie est une pute]]Bas vas crever.
T'es mort.Et oui mon gars, la vie est une pute. Bon, prêt à commencer cette histoire ?
[[Oui, je suis venu pour ça à la base.]]
[[Non, j'ai plus envie, tu me fait chier à te plaindre tout le temps. En plus t'es vulgaire.]]Tu t'appelles Jean. Tu as 17 ans et ta mère vient de te donner cinquante euros pour que tu puisses aller acheter du pain à la boulangerie du coin. Que décides-tu de faire ?
[[Cinquante Euros pour du pain ? Ça me paraît un peu beaucoup pour du pain]]
[[J'y vais en vélo, je souhaite protéger la nature en utilisant un moyen de transport non polluant.]]
[[J'suis un fuckboy, j'vole la voiture de ma daronne sans même avoir le code]]
[[Je suis pauvre, j'y vais à pied]]
[[Je reste chez moi et j'achète un abonnement de six mois chez Jacquie et Michel]]ET BAS QUOI ???? T'AS UN PROBLÈME ??? TU VEUX TE BATTRE ???? BAS VIENT ON VA SE BATTER !!!
[[Bon dieu sortez moi de là !]]Nannnn mais j'rigole ohhh, je sais bien que je suis facilement énervé. Bon dans tous les cas si jamais un jour tu as envie de repasser dans le coin n'hésites pas, ma porte reste ouverte, tu verras, on est bien, on est bien bien bien bien bien. En attendant...
T'es mort.Tut-tut-tut, poses pas de question. Laisses-toi emporter par la magie de la fiction. Un peu d'ouverture quoi merde !
[[D'accord monsieur, oui monsieur, vous êtes très beau monsieur]]Tu vas chercher ton vélo, tu le sors dehors mais tu remarques que le pneu avant est tout dégonflé. Tu vas chercher la pompe, rien à faire, ça doit être une crevaison.
[[Tu vas chercher une rustine, tu as toujours du matériel de réparation sous la main, tu es quelqu'un de prévoyant. Tu es même parfait et beaucoup de monde t'envie.]]
[[Tu n'as pas de rustine ou tu es trop fainéant pour en chercher une. Puisque c'est comme ça, tu y vas à pied.->Je suis pauvre, j'y vais à pied]]Tu démarres, tu arrives, on ne sait par quel moyen, à aller sur la route, manque de pot, tu perds le contrôle et tu finis dans un ravin.
T'es mort et en plus tu as bousillé la voiture de ta mère.Oooh non, quel dommage tu es pauvre. Et vu que tu es également fainéant tu décides de prendre le raccourci par les rues malfammées de ton petit village jurassien. Tu marches la tête baissée comme une victime. Tu es à cinq cent mètres de la boulangerie. Un vieux tout bourré te touche l'épaule et commence à te parler...
[[Tu l'ignores]]
[[Tu l'écoutes, ça doit être très intéressant]]Grâce à ta super machine "Physique to numérique" (mélange de français et d'anglais, le nom est horrible mais l'engin est révolutionnaire), tu peux envoyer ton billet de 50€ directement sur ton compte paypal. Tu achètes donc un abonnement à Jacquie et Michel et, pour fêter l'ocasion, tu commences à te pogner.
[[Branlette]]Tu t'appelles Jean. Tu as 17 ans et ta mère vient de te donner cinquante euros pour que tu puisses aller acheter du pain à la boulangerie du coin. Que décides-tu de faire ?
[[J'y vais en vélo, je souhaite protéger la nature en utilisant un moyen de transport non polluant.]]
[[J'suis un fuckboy, j'vole la voiture de ma daronne sans même avoir le code]]
[[Je suis pauvre, j'y vais à pied]]
[[Je reste chez moi et j'achète un abonnement de six mois chez Jacquie et Michel]]Après cinq minutes devant "Cynthia, caissière salope de 43 ans nous montre ses gros seins" tu te rends compte que tu es dans le salon, sur l'ordi familial et que ta soeur est derrière toi depuis le début.
- Veronica, qu'est-ce que tu fais là ??? Dis-tu d'un air éssouflé.
-Bas je sais pas j'écoute de la musique. Mais tu fais quoi là en fait ???
[[Tu retires la main de ton sexe et le range dans ton pantalon.]]
[[Tu continues à te masturber en la regardant droit dans les yeux et tu t'approches petit à petit]]- Hein ? Moi ? Euh... Rien du tout *Bruit de fond, Cynthia gémit des hurlments de plaisirs ou de douleur, on ne sait pas trop*
- Aaah beurk *Avec dégout* c'est dégoutant. Je vais le dire à maman.
L'idée que ta soeur de dix ans t'ai vu te branler te désoriente totalement. Tu commences à voir flou. Ta mère arrive. Tu coupes l'ordinateur en troisième vitesse. Trop tard. Elle t'as vu.
- Oh mon dieu, je ne peux pas croire que mon fils regarde des atrocités pareilles. Je te déshérite Jean ! D'ailleurs je ne veux plus de toi ici, ce soir tu passes la nuit dehors ! On verra si je ne suis plus fâchée demain... En attendant barre-toi d'ici ! Faire ça devant ta petite soeur tu n'as pas honte ?
Tu n'as pas le temps de t'habiller que ta mère te pousse dehors.
[[Tu es dehors]]Tu lui fourres ton énorme braquemard dans la bouche. Vu qu'elle ne peut plus crier, elle te mord. Tu hurles de douleur et essaies de retirer ton pénis en érection mais il reste bloqué dans la bouche de ta soeur. Ta soeur griffe ta bite, son appareil dentaire te fait des micro coupures. Tu lâches les cheveux de ta soeur, elle enlève sa bouche. Elle crie
- Mamaaannn !
- Quoi, qu'est-ce qu'il y'a ?
- Viens voir !
- Rooh mais qu'est-ce que c'est que ce bazar encore !
- C'est Jean, il a voulu mettre son truc dans ma bouche !
Tu interviens, ton pénis à la vue de ta mère, tout ensanglanté :
- C'est elle, elle m'a mordu ! regarde !
- Oh mon dieu !
Ta mère s'évanouit. Tu commences à voir flou, tu as perdu beaucoup de sang. Vraiment beaucoup de... de... de sang...
[[Mais que vois-je ?->T'es mort.]]T'es mort.Tu es seul, un soir d'hiver dans le jura et vu que tu es un peu bizarre (je te rappelle que tu viens de te branler à côté de ta petite soeur), tu n'as pas d'amis. Tu passes la nuit dehors dans le froid. Le froid. Il fait si froid. Tu n'as rien pour te chauffer. Tu commences à t'endormir.
Je crois que ce sera un long sommeil, un tréés looong sommmmeeeil...
[[Tu t'endors->T'es mort.]]Après avoir réparé ton vélo, tu pars donc acheter ton pain, sourire au lèvres, casque sur la tête, écouteurs sur les oreilles. Tu es comme qui dirait, fin prêt !
Il se trouve que tu habites à cinq minutes de la boulangerie et que tu as donc très vite acheté ce pain et compte tenu de ton efficacité légendaire de beau-gosse, tu es déjà en train de mettre la table.
À un moment ta musique se lance, sans que tu l'ai demandé. En effet, tu avais malencontreusement oublié de retirer tes écouteurs. Quelle tête de linote.
Tu te rends compte que ce n'est pas de la musique mais des grésillements.
[[Augmenter le volume]]
[[Éteindre ton téléphone]]Il t'attrape par le bras.
- BoUUUgggEEE PaaasSS !!!
Son haleine de dépravé te donne un relant de vomi. Tu le ravales. Tu essayes de te débattre. Impossible.
[[Tu lui mets une droite]]
[[Tu l'écoutes, après tout, ça doit vraiment être intéressant si il insiste autant.->Tu l'écoutes, ça doit être très intéressant]]- Hé petit, tu veux voir ma bite ? Oooh allez, cinq minutes quoi. Je touche plus ma femme depuis des mois, j'ai besoin d'me vider, c'est naturel non ?
Tu es dépité par sa connerie. Tu te demandes quoi lui répondre
- Et bien écoutez, moi je dis pourquoi pas ! Allez, c'est mon jour, je suis généreux.
- C'est vrai ? Dit le monsieur d'un air enchanté.
- Bas non connard. Tu lui mets un coup de pied en plein dans ses roubignolles et tu l'envoies valdinguer tel la team rocket dans pokémon.
- Je reviendrai petit, je reviendrai...
Sa voix n'est désormais plus audible.
[[Tu continues d'avancer]]Tu lui mets ton poing dans la face, il crie.
-BeeuuuaaAAAhhh.
Il t'as laché le bras, tu en profites pour t'enfuir en courrant.
[[Tu courres->Non merci.]]Tu te trouves désormais à 400 mètres de la boulangerie, un jeune homme encapuchonné t'acoste à son tour.
- Et c'est pas toi le crado qui se branle devant sa petite soeur ?
Tu te demandes pourquoi il te pose cette question.
- Hein quoi heu pas du tout, c'est Gérard ça, j'ai jamais fait ça moi.
- Ouai ouai, c'est ça... Bon, trêve de plaisanteries, tu veux un truc ? J'ai teu-shi, taz, coke, tout ce qu'il faut pour partir dans l'espace.
-Heuuu...
[[Non merci.]]
[[Vas-y, j'ai jamais essayé le lsd]]Tu continues davancer. Tu es maintenant à 300 mètres de la boulangerie. Un vieux te regarde bizarrement. D'ailleurs, il ressemble bizarrement à celui que tu as croisé deux cent mètres plus tôt. Tu marmonnes :
- Il est déjà revenu ?
- Hé petit tu veux voir ma bite ?
- Mais ça t'as pas suffit tout à l'heure ?
- Hein ? De quoi tu parles ?
- Le coup de pied dans les couilles que je t'ai donné, il y a approximativement une minute, qui semblait t'avoir envoyé à plusieurs centaines de kilomètres.
- Alors comme ça tu as frappé mon frère jumeau... Dit-il en se frottant le poing contre sa main.
[[Tu en as marre, tu courres jusqu'à la boulangerie en éspérant ne pas recroiser de boulets sur ton chemin.]]
[[Tu en as marre, tu décides de lui donner une bonne correction en public, que l'on voit qu'on ne doit pas t'emmerder.]]- Il est pur au moins ?
- Tu m'prend pour qui frère, j'ai que de la came de luxe ici. Le jura c'est le nouveau Miami, que des mafieux dans le coin. C'est les chasseurs. Ils perdaient trop d'argent dans la vinasse alors ils ont "investit" si tu vois ce que j'veux dire.
- Aaah c'est bon j'te crois. C'est combien ?
- 30 balles frère.
- T'as la monnaie ?
- T'as cru qu'y'avait écris BNP Parisbas sur mon front ? Vas-y dégage bouffon. Nan j'déconne, haaa t'as vu flou mdr.
- Bon passes moi ce taz.
- Oui, tiens, c'est bon, c'est bon. Rohlala, je rigole moi c'est tout.
[[Tu vas dans un parc de jeu et tu t'assieds au milieu de l'herbe.]]Tu mets ton taz sous ta langue. Tu attends. Tu profites du paysage, des enfants qui jouent. Quand soudain, un chipmunk apparaît devant tes yeux. Il commence à te chanter Diamond de Rihanna. Tu rigoles, un filet de bave commence à couler au coin de ta joue. Tu approches ta main afin de t'essuyer mais à la place tu te frappes. Tu tombes couché par terre. L'herbe autour de toi commence à pousser jusqu'à ce que tu devienne minuscule. Tu es maintenant entouré de géant. Un bébé marche près de toi, il a peur. Tu vois son visage appeuré puis tu vois ton visage appeuré sur le corps du bébé, tu regarde autour de toi, le chipmunk est maintenant en train de sortir une noix entière de ses fesses puis il l'avale, puis il la ressort, puis il l'avale. Un castor l'a rejoint, il remue ses fesses en chantant Hotline Bling de Drake.
[[Tu restes couché par terre, zen]]
[[Tu te lèves et par en courant dans un état de panique totale]]Tu courres maintenant comme un dératé dans les rues d'un petit village calme du jura. Tu réveilles les personnes agées faisant leur sieste, tu fait pleurer les enfants qui te voient. Les gens te regardent avec un regard mauvais mélé à de l'incompréhension.
Ces gens.
Tout ces gens te mettent dans un état d'anxiété encore plus élevé. Ça y'est, tu commences à voir les gens avec des corps d'animaux. L'immense vache se tenant debout aux mamelles géantes demandant un lait fraise à un hippopotame en tablier est pour toi la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Tu es perdu, tellement perdu que tu finis par rentrer dans un poteau. Tu tombes au milieu de la route. Un camion s'apprête à passer.
[[Houlala, que de suspens]]Tu essayes de te calmer, tu contrôles ta respiration. Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration. Pfiouuu, ça va un peu mieux. Tu fermes les yeux. Tu redeviens calme très calme. Si calme que tu t'endors. Mais on est en hiver dans le jura. À cause de la drogue que tu as pris, tu ne te rends pas compte du froid et de la nuit qui commence à tomber. Non, au lieu de ça, tu rèves. Sûrement le plus beau rêve que tu n'ai jamais fait. [[Malheureusement ce rêve sera le dernier->T'es mort.]]Et il arrive à t'esquiver à temps, les passants soupirent en coeur de soulagement. Tu n'arrives pas à te relever. Tu vois l'arbitre de boxe annoncer les dix secondes.
[[Dix]]...
[[Neuf]]...
[[Huit]]L'arbitre à maintenant une tête de pélican.
[[Sept]]Tu essayes de poser une main pour t'appuyer et te relever mais elle rippe. Tu n'as aucune force.
[[Six]]Tu te demandes pourquoi est-ce qu'aucun passant ne vient à ta rescousse.
[[Cinq]]Un camion de pompier arrive, tu commences à comprendre pourquoi le public ne bouge pas. Tu commences à reprendre tes esprits, le gardien est de nouveau humain mais porte désormais des ballerines aux mains avec des trous pour les doigts.
[[Quatre]]Le camion de pompier arrive.
[[Trois]]Il se rapproche...
[[Deux]]...À une vitesse alarmante.
[[Un]]Tu as à peine le temps de te dire que l'arbitre dans ta tête était quand même vachement synchro que...
[[Zéro.->T'es mort.]]Tu arrives à la boulangerie, essouflé.
- Bas alors jeune homme, qu'est ce qui vous arrive, pourquoi vous êtes essouflé comme ça ?
- Oh si je vous racontais, vous ne me croirriez pas.
- Bon. Et qu'est-ce qu'il vous fallait ?
- Des baguettes s'il vous plaît.
Tu tends à la boulangère les cinquantes euros.
- Tout ça ?
[[Tu as plus de 18 ans]]
[[Tu as moins de 18 ans]]Tu veux assurer ta réputation de caïd et séduire Chloé, ta jolie copine aux tâches de rousseurs qui te fait presque plus bander que Cynthia la caissière aux grosses loches. Tu le prend par le col et l'emmène sur la place centrale de ton petit village jurassien et là, tu commence à le rouer de coup.
Quand soudain, surgissent de tous les coins de la place une armée de vieux pervers ayant tous la même tête et la bite à l'air.
- Hé tu veux voir ma bite gamin ?
- Alors comme ça tu tapes notre frère ?
Tu es décontenancé.
- Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel encore ? Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ?
- Les frérots en avant !
Tu te bats tant que tu peux mais tu ne peux résister bien longtemps face à la masse de pervers s'abattant sur toi. Ils arrivent à t'attraper, te clouent au sol puis te sodomisent les uns après les autres. Les passants trop choqués, ne peuvent intervenir car ils vomissent tous avant de pouvoir agir.
[[Tu appelles à l'aide]]
[[Tu subis]]Tu cries
- Au secours, au secours !
Mais personne ne vient. Tu essayes de te débattre en vain. Tu seras abusée jusqu'à la tombée de la nuit et quand enfin les vieux pervers repartiront chez eux afin de retrouver leur femme qu'ils n'ont pas touchés depuis des mois, toi tu seras couché par terre dans la rue, tellement traumatisé que tu seras incapable de bouger. Tes parents te trouveront le lendemain matin, s'étant demandés pourquoi ils n'avaient pas de pain pour le petit- déjeuner. Il a fait tellement froid pendant cette nuit que le sperme dans ton anus a totalement congelé. Adieu Chloé.
[[Aucune indication sur les raisons de ta mort est inscrite sur ta tombe->T'es mort.]]Les vieux pervers, voyant que tu n'opposes plus aucune réticence, perdent goût à te sodomiser et te laisse partir. Tu es néanmoins si traumatisé que tu te jettes depuis le pont surplombant la rivière. Tu fait une chute de 1 mètre. Manque de pot, ta tête tombe contre un gros caillou. Adieu Chloé.
[[Tu te brises la nuque.->T'es mort.]]- Oh bas je prendrais bien les grosses miches de la boulangère avec !
- Oh cochon !
Tu sautes par-dessus le comptoir et attrape les seins gonflés de la boulangère. Tu les mallaxe comme de la guimauve.
- Oooooooooooh Ooooh ouuui, encore. Prends-moi comme une de tes jurassiennes.
- Ah parce que tu ne viens pas du jura ? Dis-tu tout en commençant à caresser son sexe humide.
- Et non ! Il se trouve que je viens du Poitou-Charentes. Dit-elle tout en commençant à aggriper ta bite.
- Oh mais dis moi c'est fort intéressant tout ça. Et si on forniquait maintenant ?
- Oh oui prends-moi grand fou !
À ces mots, le mari de madame la boulangère, Robert, sort en courant du fournil, la tête rouge de colère, prêt à te dépescer en mille morceaux.
[[Tu fuis comme un lâche]]
[[Tu l'affrontes tel l'homme digne que tu es]]- Oh bas écoutez, c'est ce que ma mère m'a donné, donc je suppose que oui.
- Robert, tu peux te dépécher, j'ai un monsieur qui veut 50 baguettes !
- Pas de soucis mon sucre d'orge, elles arrivent d'ici cinq minutes.
- Qu'est-ce qu'on s'aime lui et moi. Je ne pourrais jamais le tromper.
- Mais pourquoi vous me dites ça , je m'en fous moi ?!
- Hein ? Oh excusez-moi, j'étais dans mes pensées. Bon je vais déjà vous mettre ce qu'on a ici. Alors ça fait 1, 2, 3, 4...
Tu t'ennuies comme un rat mort.
- 12, 13, 14... Et alors Roger, elles arrivent ces baguettes ?
*Roger arrive, souriant*
- Les voilà mon pain d'épices.
*Ils s'embrassent*
- Ouuuhhlouloulou, qu'est-ce que j'aime comme tu m'appelles comme ça.
- Et c'est pas que quand je t'appelles que tu aimes hum ? Pas vrai ma cochonne.
Tu trouves ça très génant et tu veux partir le plus vite possible.
- Voilà vos pains jeune homme.
- Merci. Ah euh non, gardez la monnaie.
Tu murmures :
[[- Ma cochonne]]Qu'est-ce que tu espérais ? La musculature herculéenne de Robert et son immensité lui permettent de t'agripper en moins de deux et te voilà au sol, en train d'être roué de coups. Tu cherches une échappatoire mais n'en trouves pas. Robert, dans un éclair de lucidité, va se débarasser de ton corps tout ecchymosé en le balançant dans le four.
[[Tes cendres auront servies à la confections de baguettes aux graines. Elles étaient délicieuses.->T'es mort.]]Tu rentres ton membre à l'intérieur de ton pantalon, reboutonnes ta chemise, en l'espace de cinq secondes. Robert se rue sur toi, tu l'esquives et en profite pour lui donner un coup de coude dans le dos.
Tu te casses le coude contre la musculature de titan de Robert. Il t'attrapes et te martèles de coups de rouleau à patisseries. La suite, tu la connaîs, commotion cérébrale, Robert est condamné à perpétuité pour meurtre de mineur.
[[La boulangère se rend sur ta tombe tout les dimanches à 14 heures.->T'es mort.]]Tu sors de la boulangerie et tu décides de prendre une rue plus passante afin de ne pas retomber sur les gros lourdingues de tout à l'heure.
[[Tu marches]]Pfiouu, tu es arrivé chez toi sans égratignure. Toi et ta famille avez mangé du pain pendant trois semaines. Je me demande bien ce qui aurait pu se passer si tu avais agi autrement.
Bravo à toi, je crois bien que tu as fini ce jeu.
Enfin...
As-tu trouvé toutes les fins alternatives ?
Je te met au défi !
Allez, à la prochaine !
[[Ok, j'adore les bonus cachés]]Tu as aimé.é le jeu ?
[[Oui->Special7]]
[[Non->Special8]]Tu décides d'augmenter le volume et les grésillements deviennnt alors plus audibles. Tu te demandes alors pourquoi et comment ton téléphone peut-il être à l'origine de ces bruits. Tu le sors de ta poche et te rends alors compte que tu n'as pas pris ton téléphone en sortant mais le talkie-walkie de ton père mort à la guerre. Tu règles la fréquence d'où provient ces voix, tu arrives à distinguer quelques mots :
- Ne... Arriver... Loin... Base... SecKRSSHHH... AliKRSHHH
[[Trouver l'emplacement de la base alien]]Tu éteins ton téléphone tu remets tes écouteurs dans ta poche. Tes parents arrivent, tu leurs présentes le pain. Ta mère te regarde avec insistance.
- C'est du pain au noix ?
- Oui, je me suis dit que ça nous changerait, on en mange jamais.
- C'est normal Jean, je suis ALLÈRGIQUE aux noix, tu comprends ? A-L-L-È-R-G-I-Q-U-E. C'est pourtant pas compliqué bon sang. Ça fait 17 ans qu'on s'évertue à te le répéter.
En effet, tu avais beau être beau-gosse, prévoyant, malicieux, avec une personnalité agréable, le point auquel tu pouvais être con était épouvantable.
Pas méchant, non non, juste idiot, bête. Ce que tu avais mis sur le pneu de ton vélo. Ce n'était pas une rustine mais de l'enduit de rebouchage.
[[Tu te mets à pleurer]]*Sanglotant*
- De toute façon, personne ne fait jamais d'efforts avec moi. Parce que je suis beau-gosse, je devrais être capable de tout.
- Jean revient ici tout de suite ! Jean !
Ta mère crie.
- JEAN !
Ta mère hurle.
- SI TU NE REVIENS PAS ICI TOUT DE SUITE JE TE TUE.
En repensant à ton hamster, Brioche, qui avait fini au presse-purée après que tu ais repeint la pelouse en violet, tu prends en compte les menaces de ta mère.
- Ne me dit pas que tu as acheté 25 pains aux noix Jean.
- S..sss..ssss...si...
- AAAAaaaAAAAhaHahHAhaHahaqhahahaqhaqhaqaqhAHa ! Mais qui m'as donné un fils aussi con !
Ta mère renverse la table de la salle à manger à la seule force de ses bras.
- Tu, *halète*
tu vas retourner à la boulangerie *halète*,
et *halète*,
tu vas échanger ce putain de pain aux NOIX CONTRE DU PAIN SANS ARACHIDES !
[[Te rebeller]]
[[Écouter]]
[[Rachid lol]]- Non. Je n'irais pas ! Ça suffit, ton règne de terreur n'as que trop duré !
- Lol tki ?
- GNeh ?
- Mais pour qui tu te prends ? Tu crois que parce que monsieur Jean a décidé de ne plus m'écouter, j'allais acquiescer ? Comme ça ? Tut-tut, que tu crois fils de putain
Tu lui coupes la parole.
- Je suis peut-être con mais là même moi j'ai capté que tu t'auto-insultais.
- Ce... C'était un test *remet une mèche de cheveux en place avec sa main*. C'était pour voir si tu suivais, c'est bien bravo.
- Et du coup c'est fini t'es plus fâchée ?
- BIEN SÛR QUE SI JE SUIS FÂCHÉE !
Tu en as marre, tu ne crois vraiment pas avoir mérité ça.
[[Tu tues ta mère]]
[[Tu te suicides]]Nan mais OH ! Ça va pas ? Bas non, il faut pas se laisser faire ! Alors tu vas faire un autre choix mais certainement pas celui là !
[[Allez hop, au boulot !]]Ah oui, ah oui, ah oui oui oui oui oui. Mais t'as un vrai pète au casque là. Pire que moi hein. Non, bon plus sérieusement, retournes y, il y a des choix importants qui t'attendent
[[Avec un peu de sérieux cette fois ci]][[Te rebeller]]
[[Écouter->Spécial2]]
[[Te rebeller]]
[[Rachid lol->Spécial1]][[Te rebeller]][[Te rebeller]]Tu te rues sur ta mère et commence à l'étrangler. Ta soeur arrive dans la pièce en chaussons, demandant si le repas est prêt. Tu lui fait un grand sourire et lui demande si elle aime le pain aux noix, ta mère morte entre tes deux mains.
Ta soeur crie.
Tu cries
Elle prend son téléphone compose un numéro.
- Allo, mon frère est devenu fou, déjà qu'il était con. Aidez moi s'il vous plaît !
- Petite salope !
Tu te rues sur ta soeur cette fois ci. *On distingue les "Allo" de la police à travers les haut parleurs du téléphone*
- Crève petit peste.
Tu la sens mourir entre tes mains.
Tu n'as pas de père. Tu es seul désormais. Tu ne veux pas être seul.
[[Tu te suicides->Spécial3]]Tu ouvres le tiroir des couverts, prends le grand couteau dont vous ne vous servez jamais et te l'enfonce dans la poitrine jusqu'au coeur. Tu l'arraches de ta cage thoracique et tu le montres à ta mère en lui faisant un sourire ensanglanté digne des meilleurs films d'horreurs. Tu respires quelques instants, des glaviots de sang sortant de ta bouche éclaboussent les murs et le sol puis tu t'écroules.
[[Était-ce vraiment la peine d'en arriver là ?->T'es mort.]]Tu ouvres le tiroir des couverts, prends le grand couteau dont vous ne vous servez jamais et te l'enfonce dans la poitrine jusqu'au coeur. Dans un cri de douleur atroce, tu t'écroules, dans une mare de sang puis tu fermes les yeux. Apaisé que tout s'arrête enfin.
[[Était-ce vraiment la peine d'en arriver là ?->T'es mort.]]Jean se lève et se fout trois pains en pleine tronche.
- Ouch.
Jean prend un ciseau et s'arrache les ongles un par un très lentement.
- Aaaaïïïïïeeeeeee !!!!! Putain mais t'es sadique !
Jean se coupe volontairment les lobes d'oreilles car il veut ressembler à Vincent Van Gogh.
- Mais arrête euh ! Aïe, Hish, Ousch.
Jean se... *Non*
Jean veu... *Non*
Jean... - J'AI DIT NON !
Écoutes, tu n'as pas le droit de prendre le dessus. Tu peux lire ton contrat, c'est écrit page treize, alinéa douze.
[[Lire le contrat]]Tu te dis que c'est vachement cliché comme situation et que l'auteur de ce jeu devait sûrement écrire cette partie un vendredi soir à 23h26. JE TE VOIS. OUI TOI, JE TE VOIS. Après s'être remis de cette psychose, tu te dis que tu devrais chercher un moyen d'identifier cette fréquence.
- La psychose elle t'emmerde connard.
- Bas c'est pas moi qui parle tout seul à un soi-disant auteur...
- Je parle pas non plus à un personnage FICTIF moi monsieur.
- De toute façon je peux te faire faire ce que je veux. J'ai le pouvoir des mots.
- Gnagnagna, je m'ApPeLle IvaN J'Ai lE PoUvOir DeS MoTs GNaGnAgnA...
[[Tu veux jouer à ça ?]]- Donc si je comprend bien je suis baisé ? Dit Jean, triste d'avoir perdu son coup bas et lâche.
- C'est à peu près ça ! Dit le svelte, beau et humble Ivan d'un ton satisfait.
- Mais je peux toujours démissionner ?
- Oui... Euh enfin Non. *voix incertaine*
Non, tu ne peux pas démissioner ! *tousse* *tousse*
- C'est ce qu'on va voir ouais...
- Non arrête, promis j'arrête, promis je te met dans de meilleurs situations. Promis, tu auras un meilleur salaire et tu auras enfin la fille à la fin.
- Ah oui ? Dit-il d'un belle voix remplie d'espoir.
- Oui. Répond Ivan d'un ton inspirant la confiance. Tu m'offres une deuxième chance ?
[[Bon, O.K. si tu veux mais tu ne me fait plus passer pour quelqu'un que je ne suis pas hein ?]]
- Promis.
[[...]]Jean ?
[[...->special4]]- Jean-ean
[[...->special5]]- HOU-OUH, t'es là ?
[[...->Special6]][[Et bas non mdr->T'es mort.]]Et bien ça me fait très plaisr, en cadeau voici un lien très intéressant vers
[[surprises surprises]]Oh bas c'est dommage. Tu dois sûrement être ma mère. Pas grave, un jour peut-être tu comprendras que ce jeu était très drôle. En attendant, as-tu pensé à donner de l'eau au chien ? J'ai oublié de le faire en partant tout à l'heure.Un lien vers une vidéo génante que j'ai fait quand j'avais 13 ans. Désolé j'ai rien de mieux. HTML Cadeau
.Ta soeur se met à crier.
- Aaaaaah !
Tu n'es maintenant plus qu'à quelques centimètres d'elle. Tu...
[[J'ai plus de dix-huit ans]]
[[J'ai moins de dix-huit ans->Tu retires la main de ton sexe et le range dans ton pantalon.]]